Ouverte en 2013, la prison de Marche-en-Famenne connaît aujourd’hui un phénomène de surpopulation. Celle-ci concerne, en particulier, le quartier des femmes, prévu au départ pour 11 détenues. Elles seraient aujourd’hui entre 15 et 17. Une situation qui terni quelque peu l’image de cet établissement présenté comme une prison modèle.