Faits Divers

La brasserie Maziers (encore) victime d'un cambriolage

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 Publié le jeudi 07 mars 2024 à 14:22 - Mis à jour le jeudi 07 mars 2024 à 16:36    Bouillon

Déjà victime d'un cambriolage en novembre dernier, la Brasserie Maziers a de nouveau été la cible d'une intrusion dans ses locaux de Noirefontaine dans la nuit de mercredi à jeudi aux alentours de 3h du matin.


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Fabrice Maziers, administrateur du groupe Maziers, a été réveillé en pleine nuit par la police suite à un (nouveau) cambriolage au sein des locaux de son entreprise basée à Noirefontaine. "Vers 3 heures du matin, la police est venue me réveiller à mon domicile pour m'annoncer qu'il y avait eu un nouveau vol dans notre entreprise", raconte Fabrice Maziers. "Deux fois en quatre mois, ça fait beaucoup. On vient de terminer les réparations des dégâts du premier vol. Les portes viennent d'être réinstallées, les murs viennent d'être bouchés."

Les malfrats ont d'abord créé un passage dans le grillage entourant la propriété avant de faire un trou dans une porte à l'arrière du bâtiment. Ils ont ensuite pénétré dans le hall de stockage, pour se diriger ensuite vers la zone administrative. Là, ils ont percé un premier trou dans un mur donnant sur le magasin, avant de bifurquer vers les bureaux de l'entreprise, en défonçant plusieurs portes et creusant un nouveau trou dans un mur. Suite au déclenchement de l'alarme, les cambrioleurs ont pris la fuite, bredouilles. 

Suite à cette nouvelle intrusion, la frustration de l'administrateur est palpable. "C'est un peu fatigant et décevant parce qu'on travaille et on a d'autres choses à faire. Ces gens là viennent nous ennuyer dans notre dans le travail quotidien. Et ce n'est pas gai", partage Fabrice Maziers, agacé.

La sécurité avait été renforcée

En dépit de la déception, Fabrice Maziers souligne les mesures proactives prises pour renforcer la sécurité de l'entreprise depuis le vol de nombre dernier. "On a mis en place un système de sécurité renforcé. Cette fois-ci, il a sonné. Contrairement à la première fois, ça a bien fonctionné", explique-t-il. "Heureusement, tout est bien qui finit bien, car il n'y a pas de victime, il n'y a rien de trop grave."


Antoine Masson