C’est un témoignage hallucinant que nous avons recueilli ce vendredi matin, celui d’un ouvrier de Véviba. Anonymement, il explique tout ce que sa hiérarchie lui a demandé de faire : des préparations de commande à partir de viande avariée, destinée au Kosovo, et la falsification d’étiquettes sur les produits congelés... Il estime encore que l'AFSCA contrôlait trop peu, "des dessous de table circulaient"...