Publié le vendredi 20 avril 2018 à 16:57 Bastogne
En 1995, quand la société Verbist reprend l’abattoir de Bastogne, le monde politique luxembourgeois pousse un « ouf » de soulagement. On a sauvé la filière créée quelques années plus tôt et qui vise à faire de l’éleveur luxembourgeois un engraisseur. Mais n’a-t-on pas délibérément ignoré des signaux importants ?