Culture

Rocambole : Deux donzelles, un cheval et… des bégonias

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 Publié le vendredi 15 mai 2015 à 19:30    Province


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– Bon d’accord, je veux bien lever une patte parce qu’on me le demande poliment et que la demanderesse est jolie… Mais juste une, hein !

Parce que… les acrobaties, merci bien. C’est pas trop mon truc, à moi… Je ne suis pas cheval de cirque et n’ai nulle envie de le devenir. Alors mollo mollo, hein !

Faut voir à pas charrier… Pas pousser dans les bégonias.

… Oui, moi je préfère l’image des bégonias à celle des orties. Ça fait plus d’effet, je trouve… Ça surprend plus que les orties.

Les orties, si on pense à la Mémé vedette malheureuse de l’expression « Faut pas pousser Mémé dans les orties », on voit tout de suite bien le désagrément que ça peut présenter. Pour Mémé !

Surtout si elle est en short.

Avec les bégonias, ce n’est pas du tout pareil. Il faut changer de point de vue. Se mettre à la place du jardinier qui les a plantés, qui en a fait de beaux massifs, de belles plates-bandes. Et il a peiné pour ça, et ça lui a coûté bonbon.

Du coup il y tient, à ses bégonias, le brave jardinier.

Alors si vous, vous avez l’intention de jouer les Attila, vous êtes priés de vous trouver un autre champ de manœuvres que ses plates-bandes plantées de bégonias.

Na !